En quelques mots …

Mon histoire

Je suis de nationalité belge mais d’origine coréenne.
En effet, je suis née en Corée du Sud fin des années 70.
J’ai été adoptée à l’âge de 4,5 mois et j’ai grandi dans une famille aimante.

Jeune étudiante, j’ai entamé des études de psychologie parce que comprendre l’humain m’intéressait beaucoup.
Malheureusement, j’ai arrêté mes études pour de mauvaises raisons mais ce métier de psychologue est toujours resté dans un coin de ma tête.

Devenue jeune adulte, j’ai décidé de me lancer dans la fonction publique.

Cependant, après quelques longues années de carrière intensive avec des horaires irréguliers et surtout un environnement de travail où je ne m’écoutais pas et où je ne me sentais pas valorisée, j’ai fait un premier burn-out.

Je me suis remise en question sur mon avenir professionnel. Mais je n’ai pas cherché à aller voir plus loin. Je savais juste que je voulais changer de métier et d’environnement de travail. J’ai donc décidé de faire une pause dans ma carrière de fonctionnaire et je me suis lancée comme indépendante dans l’Horeca. En effet, un de mes hobbies est la cuisine!
Malheureusement, même si ce fût une très jolie aventure, après 2 ans, j’ai dû me résigner à retourner dans ma fonction précédente.
Et finalement, je savais que ce métier dans l’Horeca était une échappatoire mais je n’y trouvais pas vraiment de sens profond qui nourrissait des valeurs essentielles chez moi.

A mon retour dans mon travail de fonctionnaire, j’ai fait (trop) légèrement attention à mon bien-être personnel et très vite, je me suis laissée rattraper par les horaires inadéquats, le stress permanent, l’environnement délétère et les abus liés à la fonction.

Et donc, après quelques années de travail acharné où je ne m’écoutais toujours pas, j’ai finalement fait un second burn-out.
Celui-là était plus dévastateur que le premier. Je me suis retrouvée au plus bas moralement, physiquement et psychologiquement.

Je n’avais plus envie de travailler, de sortir de chez moi, je ne supportais plus le moindre stress au point d’avoir de gros problèmes d’insomnie et d’angoisse.
Voyant que mon couple était mis à mal, que ma vie de famille était en danger, j’ai décidé de ne pas me laisser abattre et de tenter de remonter la pente.

J’ai donc pris la décision de m’écouter vraiment. J’ai commencé à prendre soin de moi, de mon bien-être mental, physique et psychique. J’ai pris du temps à remonter cette grosse pente (plus de 2 ans) et au bout de plusieurs hauts et bas, je me suis rendue à l’évidence que je devais me lancer dans un travail qui avait un véritable sens profond pour moi.
Travailler telle une poule sans tête ne me convenait plus.
Je voulais apporter ma contribution aux autres, à la société.
Bref, me sentir utile et reconnue dans le travail que j’apportais autour de moi.

Malheureusement, à l’époque, je n’ai pas trouvé de coaching qui puisse me permettre de me poser les bonnes questions sur mon avenir professionnel. Certes, il y avait des bilans de compétences (hors de prix pour moi) qui permettaient de savoir en quoi j’avais des compétences mais ceux-ci ne me diraient rien sur ce qui me conviendrait vraiment, au plus profond de moi!
J’ai donc du procéder à tâtons afin de trouver LE job qui me permettrait de m’épanouir complètement!

C’est en pleine réflexion, dans mon cheminement intérieur, que j’ai commencé à avoir une certaine attirance pour le coaching.
J’ai commencé à m’y intéresser plus en profondeur et le principe du coaching m’a plu.
Il rentrait aussi en résonnance avec la psychologie qui continuait toujours de m’attirer beaucoup.

Même si le coaching est fondamentalement différent de la psychologie, le principe de l’intérêt porté à l’humain me parlait très fort.

Après mûre réflexion, analyses, prises d’information sur les différentes écoles de coaching, j’ai décidé de m’inscrire dans une école de formation afin de réaliser mon rêve.